Ou suis-je ?

Quel jour en était-il ? tel était la question que se posait le personnage ici présent. C'était un grand homme, d'une taille moyenne aux cheveux orangés. Cet homme s'était vêtu d'un habit plutot banale, voir usé. Mais qui était-il vraiment ? un simple vagabond, qui ère de pays en pays pour retrouver ce qu'il cherchait : cet homme s'appellait "Fye" alias "D.Crow"...

Un beau matin où la lumière étincellante du soleil venait d'éclairer le vertu des arbres, nous entendimes approcher quelques pas. Doucement avec ses chaussettes et chaussures mal rangés, l'homme s'approcha du village de devant. Il fixa le panneau et vit :"Village du Little Red Hiding Hood", ou plutot "Le Petit chaperon rouge". <<Etrange ce nom>> pensait le rouquin.

-Hey toi ! qui es-tu ?

L'homme se retourna pour voir ce qui se passait et surtout : quel était cette voix ?
Une fois le dos tourne, Fye apperçut un homme d'une quarantaine, bien musclé lui adressait parole. "Qui était-il"? cette question paraissait étrange. D'un petit sourire innocent, Fye repondit :

-Bonjour, je ne suis qu'un simple vagabond...pourquoi cette question ?

Le musclor fixa notre homme d'un regard mystérieux, regardant de haut en bas la façon dont s'était habillé Fye. Il répondit alors :

-Rien...juste parceque je ne t'ai jamais vu dans ces lieux...un vagabond, dis-tu ? peuh ! depuis quand un vagabond fait-il des tours dans ce village ?

Fye ne dit rien et garda silence. En fixant le panneau, une question s'échappa de sa bouche :

-Hem...excusez-moi...puis-je vous demandez quelque chose ?

Le questionné grimaçait puis s'exclama sèchement :

-Quoi ? tu veux savoir quoi ?

Fye, sourire innocent, alla jusqu'au bout de sa question :

-Pourquoi ce village se nomme-t-il "Le petit chaperon rouge" ?

L'homme en question ne dit rien et prena le sens contraire, sans même prendre la peine de répondre a notre homme. Il n'était pas tres aimable, ce musclor, non ?
Fye ne dit rien et s'avança dans le village. Vide. Un mot bien choisit et qui exprimait en plus de la "curiosité"...pourquoi n'y avait-il personne ? tout semblait calme, les portes des maisons n'étaient pas a bras ouverts...bref, un village qui ne faisait que sombrer l'athmosphère.

Fye s'avança peu a peu et regarda autour de lui, pour voir s'il n'était pas "seul"...

«Psss ! Pim ! Ya un mec dehors !»

Dans une maison vide, deux enfants, cachés, regardaient par la fenêtre poussièreuse. Ils devaient avoir environ 8ans, étaient vétus de guenouilles et tremblaient sur le parquet froid de la vieille ferme.
Le dénommé Pim dormait il y a peu et avait encore les yeux bouffis de sommeil. Il bailla :

«Hum...?
- Ya un mec dehors je te dis ! Et il est pas d'ici, ça c'est sûr !
- ...
- Eh ! Reveille toi !»

L'enfant secoua son compagnon.

«Il peut peut-être nous aider !
- Hum... Peut-être... Pam, j'ai sommeil, laisse moi dormir...
- Mais ...
- ZzZzZzZzZ...»

Pam leva les yeux au ciel et abandonna l'autre enfant à sa paillace. Il essuya la vitre de sa manche et observa plus attentivement l'étranger au dehors. L'homme était grand et mince et ses habits aux couleurs ternes l'intégraient parfaitement au paysage désolé. Une légère brûme tomba sur le village. Le nouveau venu avancait lentement dans la rue, et Pam se demanda si ce n'était pas un fantôme... Mais il avait besoin d'aide, il pris son courage à deux mains et entrouvrit la porte.

«Je reviens tout de suite, souffla-t-il à Pim.
- Rapporte quelque chose à manger, répondit l'autre avant de se rendormir, zZzZzZzZ...»

Il faisait froid dehors. Pam trotina jusqu'au milieu de la rue et attendit. La brûme s'était épaissit et l'étranger n'était plus visible. Pam pietinait le chemin de terre battue de ses pieds nus. C'était un petit garçon brun aux grand yeux gris. Il était bien batti mais souffrait visiblement de la faim et de la fatigue. Pour seuls vêtements, il portait un vieux short et un T-shirt délavé qui avait fait son temps. Il avait aussi une couverture percée de trois trous qui lui servait de poncho et des mitaines usées faites plus d'air que de tissu. La peau de l'enfant était souillée de crasse, à tel point qu'il était difficile d'estimer si il était né blanc ou noir. Ses cheveux courts étaient figés par la sueur. Il tremblottait, attendant que l'étranger émerge du brouillar.

*Et si c'était vraiment un fantôme...*

Il tacha de ne pas trop penser à cette effrayante supposition. Mais la peur était bien là. La tension montait au fur et à mesure que l'attente s'etrernisait...

«J'ai peur Pim... chuchotta-t-il à son compagnon absent.»

Soudain, la silhouette fine de l'homme se dessina devant lui et Pam retenu un cris de surprise. Il ne retenu toute fois pas le sursaut qui l'accompagne d'habitude. Et il resta pétrifié au milieu de l'allée déserte, n'osant pas bouger.

oFye marcha pau à peu dans les rues du village. Un décheresse incroyable s'était installé dans ce lieu perdu. L'homme avança doucement lorsqu'il vit une silhouette de petite taille : un jeune garçon se tenait là, devant lui en bouchant les lèvres, comme s'il était effrayé. Un coup de sursaut parvenait chez le jeune bambin. Pourquoi réagissait-il comme cela ? est-ce à cause de l'apparence de Fye ? non...Fye etait un homme normal...du moins à l'instant ou personne ne savait qu'il etait un loup-garou. Mais quoi donc ? une chose etait sur : notre personnage n'etait pas SEUL !
Les yeux fixes tout bas, l'homme aux cheveux oranges s'approcha du jeune homme. Sourire aux levres, il demanda :

-Bonjour jeune monsieur...est-ce que es-tu du village ?

Fye se pencha legerement vers le petit etranger puis grattant la tete, il s'excusa :

-Ah pardon...je ne suis qu'un simple voyageur...mon noom est Fye...peux-tu me dire pourquoi n'y-t-il personne dans ce village ?

Ces questions paraissaient soudaine...mais Fye ne pouvait s'empecher de les sortir a cause de sa curiosite.
Un second sourire s'echappa des levres de notre homme, signe de gentillesse.

-Et tes parents ? que fais-tu seul dehors ?

Fye fixait le jeune villageois et se demanda la reation de ce dernier : comment allait-il reagir ?
Soudain, les yeux de Fye fixait le ciel : le soir s'approchait lentement...quelque chose lui dit qu'un evenement horrible allait se passer...

Pam, la frayeur passée, sourit. L'étranger avait des manière légères : ça ne pouvait pas être une personne mauvaise. Le jeune garçon voulu quand même s'en assurer :

«T'es un gentil toi ?»

Le soir tombait, il faisait vraiment froid. Pam observa attentivement le visage du nouvel arrivant et rit. Ça fait du bien de rire : ça réchauffe.

«Bienvenue Fye. Ya personne dans le village parce qu'ils sont tous partis. Ah non pas tous : yen a qui sont morts aussi. Et ya le Vieux qui rode toujours autours du village. Mes parents son pas là. Ils sont partis parce que y avaient peur de... de... de la chose qui s'est installée ici. Y sont vraiment pas courageux ! Alors nous, Pim, Iwa, Tita-ne et moi, on est resté pour sauver Celio. Pim et moi, et Iwa aussi on étaent amoureux d'elle. On se disputaient souvent pour savoir qui elle préférerait. Elle a était enlevée par la Ceux-Qui-Sont-Venu-Avec-La-Chose... Mais Tita-ne est mort : on a retrouvé sa tête à l'entrée du village. Et maintenant c'est Iwa qui est partit depuis deux jours : on l'a pas encore retrouvé Pim et moi. En fait moi je m'appelle Pam !»

L'enfant avait dit toutes ces horreures le sourire aux lèvres (crispées les lèvres) et il éclata d'un rire nerveux. Il se replia sur lui même pour se calmer et quand il releva la tête il avait les larmes aux yeux.

«Elle était jolie Celio : elle s'habillait toujours en rouge, elle était toujours joyeuse et aussi très naïve. Elle était vraiment la fille la plus mignone du village ! Tu vas nous aider hein ? T'es pas venu ici pour faire du tourisme : t'es venu pour nous porter de l'aide, pas vrai ?»

Il jeta un rapide coup d'oeuil vers la maison où Pim devait dormir depuis tout à l'heure. Il pris la main de Fye et l'entraina dans cette direction.

«Viens ! Pim a faim, et moi aussi ! Tu as quelque chose à mangé ? Sinon faut que j'aille attraper des rats pour ce soir...»

Il introduit le vagabon dans la vieille demeur.

Fye suivit le jeune villeageois, tete baissé. Les événements que venait de conter le petit garçon semblait étrange aux yeux creusé de notre homme ... Les villeageois, les tetes découpée...tous semblaient normal dans ce village ?? purquoi ce jeune personnage parlait-il d'une manière aussi pacifique ?? mais les larmes de ce dernier semblait tout changer lorsqu'il parlait de son jeune amie, Tita...une tete découpée...rien qu'à l'entendre, notre homme frissonait de mille petits tétards dans son corps. Il avait connu cela, lui aussi : le déccès de sa femme en était la preuve !!
Fye se rappelait aussi de cette expression "un gentil" ? peut etre...mais qui connaissait la véritable apparence de notre homme ? derrière ce masque gentil se cachaient de grandes griffes sombres d'un loup assoifés de sang...
Il était là pour retrouver le bonheur de vivre...il était ici parce qu'il voulait fuir le passé, le temps...à présent, on lui semblait demander de l'aide !
Mais que se passait-il vraiment dans ce petit village ? et qui étaient ces CHOSES dont parlait le jeune étranger ?? Celio, la fille disparue...qui était-elle ? toutes ces questions s'enchainèrent dans le cerveau de Fye, d'où un ruisseau de magma le fit ouvrir la bouche :

-Peux-tu me parler de ton amie....Celio ?

L'homme rentra en silence dans la demeure. Là, il vit un second petit homme qui semblait plonger dans un sommeil perdu..."Pim" ? oui...c'était surement lui...

-Bonjour....hum...est-ce lui, ton ami Pim ?

Fye chuchotait à moitié pur ne pas réveiller l'endormi...

-Alors...est-ce que tu voudrais bien de me conter ces histoires en détails ? Celio...et puis ces choses dont tu parlais...qui sont-elles ??

Pam se précipita pour aller chercher un vieux fauteuil. Il le frappa énergiquement pour enlever la poussière et le ramena à Fye.

« C’est pas très confortable mais ça sera toujours mieux que par terre… »

Il s’agenouilla auprès de son compagnon et le secoua en chuchotant :

« Pim ! Réveille toi !
- Hum ?
- C’est un gentil ! Lève toi ! Il va nous aider ! Hein ? demanda-t-il en se retournant vers le nouvel arrivant. »

L’autre enfant se frotta les yeux, des grand yeux bleus. Il est blond, a les cheveux blonds et la peau pale. On pourrait le prendre pour une fille. Quand il retira ses petit poings, on put voir les profondes cernes sous ses yeux qui le vieillissaient. Il sourit à Fye :

« Salut ! »

C’est étonnant comme les humains s’habituent à la misère. Ces enfants vivaient là (depuis combien de temps ?) au milieu des ruines de leur village dans la crasse et dans le froid, et ils s’exprimaient comme s’ils étaient encore choyés par des parents attentionnés. Pam s’assis en tailleur sur le sol face à Fye et commença à jouer avec un lambeau de son vieux poncho.

« Bon… Je sais pas par quoi commencer…
- Par le commencement, ça pourrait être pas mal.
- C’est bon, c’est bon ! Alors voilà Pim.
- Enchanté !
- Sinon… Ici on est dans notre village…
- Dans une maison poussiéreuse à moitié en ruine.
- Ça je crois qu’il a remarquer ! Donc dans notre village. Il s’appelle Little Red. Avant c’était un petit village joyeux où tout aller pour le mieux. On allait souvent jouer dans la forêt avec la bande là : Iwa, Tita-ne, Pim, Celio et moi. La grand mère de Celio habitait dans les bois.
- Elle habite peut être toujours.
- C’est entre autre ce que devait allé vérifier Tita-ne… dit Pam avec une voie plein d’émotion.
- Tu vas pas recommencer à chialer !
- Merde Pim ! C’est pas toi qui à retrouvé sa… sa… »

Les yeux de Pam se remplirent de larmes. Ceux de Pim restaient froids. Une puissante anesthésie semblait l’avoir saisit. Il avait le regard du combattant chevronné qui a déjà vu tant d’horreur que tout le laisse de marbre. Il fini tout de même par baisser la tête :

« Désolé, excuse moi… (puis se redressant il s’adressa de nouveau à Fye) En fait tout à commencer ce matin là… »


[récit de Pim]




C’était une fin de matinée ensoleillé. On revenait, avec toute notre bande, du vieux moulin où on avait joué le matin. Il faisait très chaud et on avait faim. Le village sentait bon le dîner. Alors on a fait la course pour savoir qui serait le premier à arriver sur la place. C’est Iwa, qui va plus vite que tout le monde, qui allait gagné. Mais, alors qu’il regardait en arrière pour nous chicaner, il à percuté de plein fouet un homme immense. On l’a tous doubler en riant et on a tracé vers la place. Mais le bonhomme était bizarre : il était super grand déjà. Mais surtout il portait un lourd manteau alors que la planète pouvait se comparé au four du pâtissier ce matin là. L’homme a grommelé très mécontent apparemment. Iwa s’est excusé et il nous a rejoint au grand galop. Quand on a vu la tête qu’il tirait on était mort de rire. Lui il rigolait pas du tout :

« Qu’est ce qu’il y a ? a fini par demander Celio entre deux fou rire.
- Ce type…
- Bah quoi ? Tita-ne impatient.
- Il…il…
- Va y ! Accouche !
- On dirait un loup : il est tout poilu, il a les yeux jaunes et quand il m’a parlé j’ai vu ses dents… Elle sont pointues et acérées ! En plus il dégage un froid intense : je me serais cru en plein hiver…
- Tu délire !
- Pas du tout !
- Bon moi j’ai faim ! On rentre ? »

On est tous rentré chez nous et on s’est retrouvé en début d’après midi près du vieux moulin. Celio est partie très vite : elle devais apporter un gâteau à sa grand mère. Alors elle est partie en trottinant , sa petite cape rouge voletant derrière elle. Elle nous a fait un signe de la main. Et là on a commencer à se disputer :

« C’est à moi qu’elle disait au revoir ! (moi)
- N’importe quoi ! C’était à moi ! (Iwa)
- Vous avez de la merde dans les yeux ? C’est évident que c’était à moi ! (Pam)
- Bon… On bouge ? (Tita-ne, toujours indifférent à nos histoires de cœur, l’insensible !)»

Le truc c’est que le soir Celio n’était pas rentré. Et le lendemain non plus. Sa mère commença a s’inquiéter méchamment et on envoya Bill, un grand ado boutonneux mais très sympathique, la chercher. Il devait aller voir la mère grand, ramener Celio au village, point barre. Lui non plus n’est pas revenu… Alors les gens du village ont paniqué. Une grande battue à était organisée pour retrouver les deux disparus. Quasiment tous les adultes sont partis dans les bois. Nous on avait pas le droit de sortir. C’est les parents de Pam qui nous surveillaient . On a attendu toute la journée enfermé dans nos chambres. C’était super plate ! Et, alors que le soleil disparaissait (lui aussi ^^) à l’horizon et que les adultes, toujours pas de retour, commençaient à franchement nous taper sur les nerfs (bah oui, tant qu’ils étaient pas là on avait pas le droit de sortir alors…), j’ai désobéi.

Je suis sorti par la fenêtre et j’ai fait rapidement le tour du village. C’est mort, comme les rats après trois jours coincés dans un piège. Alors que je retournais lentement vers la maison en me demandant comment j’allais escalader la façade, j’ai entendu des bruits sur la place. Je me suis approché. Deux adulte étaient rentrés. Je sautais presque de joie ! Enfin, c’était pas trop tôt ! Mais j’ai vite remarqué que quelque chose allé de travers : c’était le charcutier qui se tenait debout, appuyé à une canne de fortune (une bout de bois ramassé sur les chemins forestiers). Il soutenait une autre personne. Je comptais les têtes : 2. Je comptais les pieds : 2 aussi… Bizarre… Je me retournais pour vomir dans le caniveau. L’autre personne c’était Ben, mon oncle : il perdait énormément de sang. Son corps était scié sous l’abdomen : plus de jambes, plus rien. Je me suis caché le visage et j’ai écouté, incapable de bouger. Ben parlait faiblement, je n’entendait rien. Puis le charcutier l’a déposé à terre, lui à fermé les yeux. Il a pris la main de la mère de Pam et à crié :

« Ils sont tous morts !!! Ça les a tué, Ça les a déchiqueté ! Il faut partir, le plus loin possible !!! Venez avec moi tant qu’il est encore temps !!! »

Et ils sont partis, terrorisés, sans même penser à nous ! On était leurs enfants portant ! C’est pas possible qu’ils nous aient oublié !!! Mais si ! Ils sont partis en ne pensant qu’a sauver leur peau et ils nous ont laisser ici ! Pas mal dans le genre nos parents hein ?

On était plus que quatre dans le village. Non, cinq : le vieux est resté aussi. Mais il a complètement perdu l’esprit. Il ait le tour des habitation, inlassablement jusqu'à tomber de fatigue. On le récupère à moitié mort à chaque fois. Pendant une semaine il se tient tranquille et puis il repart : il dit qu’il nous protège. Mais en fait c’est plutôt le contraire.

Bref, avec Iwa, Tita-ne et Pam on a continué les recherches… Toujours plus loin dans les bois vers la maison de la grand-mère de Celio. On a retrouvé des bouts de corps par-ci par-là sous les arbres. Et sur l’écorce, beaucoup d’entailles. Tu sais, comme celles que font les fauves pour aiguiser leurs griffes. On pense que c’est des griffes de loup. Mais on a jamais vu quiconque. Même pas de monstre… On sait pas ce qui ce cache là-bas. On l’appelle Ça. Ça vit sûrement dans la maison de la mère grand parce que plus on s’en approche plus on trouve de cadavres. Mais on l’a jamais vu. C’est pour ça que Tita-ne il a dit que Ça devait être reparti. On a essayé de le retenir mais il est partie voir. Il est allé trop profond et Ça l’a eu ! On, enfin Pam, a retrouvé sa tête à l’entré du village… Comme si c’était un avertissement.

…

Après ça Iwa a perdu la tête. Il a dit que c’était un péché, qu’il fallait retrouver le corps de Tita-ne pour enterrer les deux bouts ensemble. Et lui aussi il est parti. Ça va faire trois jours maintenant…

[fin du récit de Pim]

L’enfant aux yeux bleus afficha un sourire fade :

« On a pas encore récupéré sa tête !
- PIM !!! Comment tu peux dire ça comme ça !!! éclata Pam.
- Je… je me disais seulement que on devrait peut être faire comme les parents et partir…
- Et Iwa ? Et Bill ? Et Celio !?!?
- Sont peut être déjà morts…
- M… Mais… (Pam ne savant pas quoi répliquer : c’était vrai, ils étaient sûrement tous déjà morts…) Mais je veux pas les abandonné quand même…
- Moi non plus, t’inquiète pas ! En plus rien ne dit que Ça a laisser fuir les parents en vie…
- Comment tu fait pour raconter des choses aussi immondes sans émotions. Tu es placide comme un tortionnaire aguerri…
- Faut croire que je me suis habitué… »

Il regarda Fye droit dans les yeux :

« Si Ça t’a laissé passer, ça veut pas dire que Ça te laissera repartir. Tu dois nous aider, d’accord ? »

Pim était autrement plus autoritaire que son compagnon. Sa voie était plus grave, plus dure. Il garda le silence quelque seconde. Il réfléchi. Puis il demanda avec le plus grand sérieux :

« Tu sais te battre ? »

L'estomac de Pam gargouilla.

"J'ai faim"



[hrp : xD parait que les post courts sont à la mode alors]

Les yeux d'un bleu clair telles les vagues parcourant le grand océan fixait les deux jeunes moineaux qui s'asseyaient là, dans cette vielle demeurre sans défense. L'un était sensile : ses yeux ruisselait les pleurs d'une personne ayant perdu un être cher. L'autre, plus déterminé, racontait la péripétie sans la moindre sensiilité...
Ainsi donc, l'histoire se termina avec souffrance...notre homme ne dit un mot. La séparation de ses enfants semblait incroyale et surtout morbide ! Une tête déchiqueté, trouvé devant le village...un homme aux yeux de loup....
Rien qu'à ces idées, Fye frissonait peu à peu dans son cerveau, quitte à fuir rapidement ce lieu. Mais non. Ce n'était pas par lâcheté ! mais plutôt par peur ! une peur pas comme les autres : les ténères qui vivaient en Fye l'empechaient de vivre tel un véritale humain, il y avait des siècles...il souhaitait les abandonner. C'est ce qu'il avait fait : éviter les humains était la meilleure chose à faire.
De l'aide ? oui...ses bras musclés pourront bien envelopper ces malheureux enfants sans défense, de ses griffes inconnues. Mais plus notre homme fera un acte pur, plus il recevra ces sentiments tendre...qui pourraient malheureusement finir par sombrer lentement.
Les jeunes garçon insista...ils prétendait que cet homme impur était venu pour les aider. Fye sourit et ne dit rien.
C'est alors qu'il fit la remarque de cet homme étrange que ces jeunes villageois appercevaient : oui...ces yeux de loup qui guettaient sans arrêt ce petit village, des pupilles sanglants, telles étaient comme celui qui laissa cette marque au fond de Fye !!

-Pourriez-vous...m'en dire plus sur cet homme aux yeux de "loup" ?

A ce moment là, le bleu-nuit du soir éclaira les fenetres du demeurre silencieux. Le visage de Fye rayonnait, éclairé par les étoiles du ciel ...
Fye prit peur. Ses yeux écartillaient soudainement comme s'il avait rencontré les ténèbres...sa tete se retourna vers le ciel et lorsqu'il vit...qu'il n'y avait pas de lune...du moins pour l'instant ! Son tintement se calma et refixait les jeunes étrangers. Ces derniers semblaient déterminé sur le fait qu'il était le "sauveur" !!
Combien de temps ce village ne reçoit-il pas de visiteurs ? Comien de temps est-il resté si déser ?? ah oui...depuis la disparition de cette jeune fille dont parlait les souriceaux. Fye ferma les yeux un instant puis continuait dans ces paroles :

-Non...ce ne sera pas nécessaire de m'éclaircir sur cet "homme"...

Un soupir avant de se relancer :

-Je suis désolé, les enfants...mais je ne suis pas là pour vous sauver...vous savez, je ne suis qu'un simple vagabond ! si je suis là ce n'était juste le hasard et pur hasard...

L'homme se leva de la chaise puis recula pas à pas...

-En temps au'un "homme" normal, je dois vous dire que j'ai très peur de cette histoire...oui ...elle m'effraie beaucoup, le savait-vous ? d'ailleurs, je ne suis qu'un faiblard..je ne sais pas me battre...ni meme porter un bout de bois...

Mensonge...tous ces paroles n'étaient que monsonge...
Mais voilà...il fallait qu'il évitait de fréquenter ce genre de relation, où tous se finissait mal à a fin...il ne voulait pas ! surtout, il ne voulait pas blesser ces enfants...
Fye se retourna et se dirrigea vers la porte...Là, on entendit un hurlement fracassant, qui pénétrer à travers la demeurre. Quelqu'un criait...est-ce un villageois ?? A ces bruits, Fye fixa les deux jeunes hommes puis courait vers le bruit.



Arrivé, notre homme vit une foule de villageois. Les villageois du "Little Red", paraissait-il le nom de ce village. Il se faufila entre les personnes qui se tenaient là puis vit enfin quelque chose par terre : un corps sans tête...un corps à moitié déchiquetée, sans la moindre pitié dans les actes...est-ce un corps d'homme ? de femme ? ou simplement d'un enfant ?ce corps était en tout cas de petite taille...oui...surement un enfant...

Fye repensa alors à ce que disait les jeunes garconnets : ils étaient cinq compères dont un mort, deux disparus...Fye ne dit rien tandis que certains villageois bouchaient leur bouche, dégouté par cet événement.
Fye se retourna par ci par là, histoire de longer les rues de villages, pour voir s'il ne restait pas une trace d'où venait ce corps...
Un homme étrange se tenait là, derrière de tout le monde et s'en alla aussitot. Ce dernier était pale, vu par les étincelles du feu que tenait les villageois. Fye suivit de derrière quand ses pas commencèrent par accélérer, accélérer...jusqu'à ce qu'il arrivait dans un impasse. L'homme à la peau pale et aux yeux étrange guettait Fye, tel un loup guettant sa proie.

-Enchanté...mon nom et Fye, et vous ?

L'étranger ne répondit pas quand ce dernier commença par se précipitait vers notre homme agressivement.

-Oula...du calme, monsieur...puis-je vous aider ?

Fye intercepta le bras de ce dernier puis le fixa avec ses yeux de loups, à lui aussi.
A cet instant près, l'étranger s'éclata de rire. Il disait :

-Mais que vois-je...tu es aussi comme moi, non ? on est de la meme espece...et pis, je le vois à travers tes yeux !!

Fye ne répondit pas quand il entendit un bruit...


[voilà...j'espère que les petits gosses ont suivit Fye parce que sinon ....xD lol et désoulé...je met quand meme un peu de l'action, ça ne te dérange pas ? xD]

L'étranger s'était précipité au dehors. Pim et Pam étaient d'abord restés figés : quoi ? comment était-ce possible ? Il était le seul étranger à être arrivé au village depuis les incidents et il n'était pas là pour jouer le rôle du héros ? Pourquoi ? On n'étaient dans la réalité voila pourquoi : le sauveur ne viendra pas. Il faudra se débrouiller sans lui. Voila ce que se dirent les enfants, tétanisés.

Pim fut le premier à se rendre compte que le temps avançait sans eux. Il se leva et tira Pam par la capuche :

"Viens ! On le suit ! C'est pas le héros, mais faut pas que ça soit l'innocente victime non plus ! Viens on va voir ce qui se passe dehors ! C'est peut être important pour la suite de l'histoire."

Maintenant bien accrochés à la locomotive du temps réel qui ne s'arrête à aucune gare (bah oui, faut sauter en route pour descendre, mais ça se finit mal en général de sauter des trains en marche...), les deux compagnons se lancèrent à la poursuite de Fye.

*Il a pas le droit de dire ça : il est ici, maintenant, faut qu'il nous aide !*

Pam était très en colère contre le nouveau venu. Un instant il se serait cru tiré d'affaire et cet homme avait brisé son rêve. L'utopie est mauvaise pour l'espoir... Il avait pris la résolution que, de grès ou de force, Fye les aiderait.

"Oula ! s'écria Pim, un peu essoufflé par sa course. Tu pense tellement fort que je t'entends distinctement ! Non sans déconner : pourquoi tu fait cette tête ? On peut pas forcer quelqu’un à être courageux !"

En parcourant la place du regard, le jeune garçon aperçu l'étranger filer... bah un autre étranger. Ils ne s'attardèrent pas sur le spectacle du milieu de la place. D'ailleurs ils ne savaient pas ce qu'il se passait : leur priorité était de rattraper Fye.

Il avait tourné dans une impasse. Il avait rattrapé l'autre homme. A moins que ce soit l'autre qui se soit laisser prendre. Les enfants restèrent à l'angle de la rue et écoutèrent :

"Ils parlent ?
- Ouai.
- De quoi ?
- Tais toi j'entends rien... En tout cas, l'autre type à pas l'air clair...
- Tu veux dire qu'il est pas net ?
- Non je veux dire que ça pue l'embrouille.
- Mais ça veut dire la même chose tout ça !
- Bravo, tu fais des progrès ! (Pim, narquois) Bon chut !"

Le nouveau personnage était en partie caché aux petits par la stature de Fye.

Citation :

"Mais que vois-je...tu es aussi comme moi, non ? on est de la même espèce...et pis, je le vois à travers tes yeux !!"

Pim et Pam se regardèrent et firent la moue :

"Zut, sont de la même espèce il à dit...
- Ca veut dire que lui non plus va pas nous aider.
- On a pas de chance aujourd'hui... soupira Pam.
- Tu l'as dit !
- Mais, celui là, au fond, il a l'air méchant... Pas comme Monsieur Fye.
- Ouais, ... Alors peut être que Fye est un méchant lui aussi.
- Tu crois ?
- C'est possible.
- Mais il avait l'air gentil.
- Arrête de te fier aux apparences : elles sont souvent trompeuses. conseilla Pim, d'un ton professionnel.
- Et toi arrête de me parler comme si j'était un bébé : on a le même age !
- Okay, n'empêche que ils sont pas très rassurants ces deux là-bas..."

Pam éternua soudainement et bruyamment.

"Idiot ! Ils vont savoir qu'on est là maintenant ! On est repéré ! On passe au plan B !
- Euh, pas de plan B...
- Le C alors !
- Pas de plan C non plus, d'ailleurs y'avais pas de plan A non plus, et pas de plan du tout si on réfléchit bien.
- On est mort alors.
- C'est vrai ? (Pam, le plus sérieusement du monde)
- Tu le sauras dans le prochaine épisode !
- Oh non ! Pourquoi c'est toujours dans ces moment là que ça s'arrête !?
- Par ce que Dieu et Grand et Miséricordieux.
- Je vois pas le rapport...
- Moi non plus andouille ! Je me fou de ta gueule !
- Ah ! ... C'est pas gentil ça. Et pourquoi y’a des majuscules à Grand et Miséricordieux.
- L'histoire ne le dit pas mais si tu veux mon avis : c'est pour paumer les lecteurs de bible. Il croient qu'on commence une nouvelle phrase mais en fait pas du tout ! C'est juste pour les embrouiller et pour que le texte ait l'air plus savant. (Pim toujours à la page)
- Ah bah oui, c'est pas bête... Mais pourquoi on s'enfuie pas : ils vont nous voir là.
- Bah oui.
- Et alors ?
- Et alors la chevillette cher à ma mère sera tiré et la bobinette...
- Coupez ! C'était nul ! On la refait : Et alors ?
- Bah alors j'en sais rien moi, on verra bien : ça va dépendre du prochain post... Euh… Je nous trouve bien informé pour des personnages de rp qui devraient se contenter de jouer leur rôle.
- Moi aussi. On va se faire gronder par l'admin...
- Hum... Chers lecteurs : veuillez nous excuser pour ce petit rp fun (flooder aussi) et ne pas tenir compte de ce dernier dialogue. Faut croire que celui qui tape ces mots que je prononce sur son ordi a un peu abusé de [censuré]. Zut ça marche pas, bon de jus d'orange alors. Yo ! Ca part totalement en vrille ! "Alors pour pas trop vous souler j'vais m'arrêter d'un coup sec ! ..." (cf J'ai Oublié by Grand Corps Malade)"



[hrp : ^^ lool pas grave ! Pourquoi tu t'excuse ? T'as eu raison ! J'en aurait bien mis de l'action dans le post précédent mais il était déjà assez long comme ça xD]

Un éternuement retint l'attention des deux grands hommes qui restaient plantés devant cet impasse. Deux enfants, d'un autre coté, se querellait pour un tout et pour un rien, sans regarder ce qui se passait autour d'eux.
L'homme aux yeux de loup, le qualifié méchant dans ce conte, ricanait d'un air amusé. Fye, pendant ce temps, murmura à sa bouche :

-Pim ? Pam ? mais que font-ils ici ?

A ce moment précis, notre homme senta un atmosphère ténébreux les envahir. L'autre personnage semblait amusé, quand il s'exclamait avec une voix machiavélique :

-Mère-grande, mère-grande...pourquoi as-tu des dents si grands ?

A cette phrase, Fye écartilla ses yeux puis criait aux enfants :

-Partez d'ici !! vite avant qu'il ne soit trop tard !!

Notre homme se retourna alors vers le grand méchant loup quand ce dernier s'adressa aux deux enfants, toujours avec sa voix sanglante :

-Venez par ici, les enfants...je crois me rappeller de vous...ahh oui...cette chère et tendre petite jeune fille au capuchon rouge tel le sang coulant dans les veines de ces humains misérables...
-Non ! partez !! cria Fye

A ce moment meme, l'homme aux cheveux oranges s'interrogea sur la dernière phrase que disait l'étranger : il parlait d'une petite fille...était-ce lui, l'origine de tous ces meurtres ? une chose était sur, cet HOMME n'était pas humain, et lorsqu'il parlait de "ressemblance", on pourrait en juger que c'était une de ces betes misérables qui ne se tranforment qu'aux jours de pleine-lune...oui, ces monstres qu'on appelait : " LOUP-GAROU "!!
La présence de cet etre n'était pas un bienvenu !!
Soudain, l'homme ricana de nouveau puis se précipita vers Pim, l'attrapa par le col et renifflait l'odeur de ce dernier..

-Aaaahhh...une chaire humaine bien fraiche...
-Arrete !!

Fye rattrapa le bras du canibale puis donna un grand coup, de façon à faire tomber le "méchant du conte" par terre, lachant l'enfant...

-Je t'interdis de toucher ces enfants !!

A présent, les yeux de Fye brillait de mille feu au rayon de clair de lune. Ses paupilles exprimaient la dureté, ce qui donna à présent une présence particulièrement charismatique venant de notre homme.
L'étranger s'essuya la bouche, taché de sang à cause du frappe et cria :

-Pourquoi as-tu fais ça ?? on est de la meme espèce non ?

A ces mots, Fye envoya à nouveau un nouveau coup puis, bien déterminé à en finir, il s'exprima :

- Désolé....mais je ne suis pas comme vous !

L'étranger se tut. Soudain, ce dernier fixa le ciel puis ricana encore et encore. Intrigué, Fye l'interrogea :

-Pourquoi riez-vous ?

Le grand méchant loup ne disait rien et montra le ciel. Miséricorde . Cette nuit là était une nuit de pleine lune...mais pourquoi-est-ce que Fye ne vit rien lors de la demeurre ? En plus de cela, il aurait pu le sentir...mais pourquoi donc ?
Les yeux de Fye fixa l'ombre de la lune, situé entre les étoiles de la nuit et à cet instant, on entendit un hurlement...un hurlement de loup !!

Le bruit parcouru le village, un grondement de douleur...
Bras, jambes, visage, tete... tous se métamorphosaient...à présent ne restait plus qu'un grand loup...ou plutot...deux grands loups à l'aura ténébreux. Le ténèbre somrait cette nuit dans le village du CrOoked...et cela fit le retour de notre homme-loup : Fye D.Crow...

Sa fourure n'était pas comme le second, qui était teinté d'un noir de corbeau...non ! ici, cette chose que nous observons était d'une couleur orange foncé, mélangeant d'un rouge cramoisi...

Les yeux de notre bête se retourna lentement vers les jeunes villageois puis rapidement après, il entendit son compagnon parler :

-Alors...je disais bien que tu est comme moi non ? on est de la meme espèce...allez, il ne nous reste plus qu'à dévorer ces enfants et je te ramenerais chez "NOUS" !

Les bruits de pas s'approchèrent lentement des enfants, la geule plein de bave...
Soudain, la bete orange commença par s'exprimer :

-Je suis désolé...mais je vous ai déjà dis...je ne suis pas comme vous...

A ce moment-meme, Fye se mettait devant les enfants, tel une enveloppe protectrice.

-Que dis-tu ? pourquoi protéger ces misérables humains ? n'oublie pas ce que tu es !! et tu dois surement savoir pourquoi !!
-..je ne vis que pour ma propre conviction..
-Assez de bavardage !! pousses-toi où je te dévorerai aussi !!

Fye ne dit rien et resta à la meme place. Enervé, le loup-garou ennemi se jetta sur Fye et commenca par ouvrir sa grande geule. A cet instant, notre hommeattrapa ce dernier puis le projettait vers le mur.

-Ne trouvez vous pas lache en mangeant ces humains ?

Enragé, l'autre bete se contenta de griffer Fye, quand il sautta à travers ce dernier pour arriver jusqu'aux enfants. Là, la bete attrappa l'un des deux jeunes hommes...


[je te laisse choisir la victime xD]

Les enfants sont, par définition, des êtres innocents et peu raisonnable car pas encore tout à fait habitués au monde qui les entoure. Pim et Pam éataient partis dans une joyeuse crise de naïveté aigue. Ils avaient, l'espace d'un instant, oublié que la vie était réelle, non virtuelle. Et que le danger était lui aussi bien réel. Aucune sauvegarde sur le disque dur de la vie. Seulement le fatal Game Over en fin de partie. De même, l'ame ne passe pas par l'arrêt "Corbeille" : le dossier est automatiquement vidé et l'esprit directement renvoyé au néan. Ils s'en rendrons compte plus tard... si ils sont encore là pour rendre des comptes.

Ils avaient d'abord scéssé de faire attention aux événements. Quand Fye leur ordonna de fuir ils émergèrent juste à temps pour assister à la transformation des deux hommes. Ils restèrent figés : d'abors par le facination ensuite par la curiosité enfin par la peur. C'est ça : ils étaient terrorisés. Les deux loups engagèrent le combat. Pam ramassa un bout de bois qui trainait à terre.

«Qu'est ce que tu fais triple andouille ?!
- Faut aller aider monsieur Fye !
-Tu vas te fairedécouper en rondelles Pam !
- Mais...
-Quoi mais ?! Fye nous a dit de partir ! Viens !»

Pim pris la main de Pam. Les deux garçon s'apprétaient à prendre leur jambes à leur cou mais... Mais Pam fut projeté avec violence au sol. Le loup garou étranger avais saisi Pam, tétanisé.

«PAM !!!»

Le petit, toujours étendu à terre, tendit la main vers son compagnon.

«Laisse le ! Laisse le ! LAISSE LE !!!»

Mais le grand méchant loup n'étant pas de très bonne humeur refusa d'ascéder à cette requete (xD). Saisissant fermant sa proie il s'élança vers la forêt. Pim se remis le plus vite possible sur ses jambes et se lança à la poursuite du loup. Une course poursuite perdu d'avance : Pim ne le rattraperait jamais aidé seulement de ses petites jambes...Mais par la force du deséspoir il continua, il suivit le piste de son ami disparut dans les profondeur des bois et de la nuit. Il couru jusque dans la forêt qui, par cette soirée de pleine lune n'avait rien d'une forêt enchantée. Sans réfléchir il continuait mais son cerveau avait enregistré la situation : plus il allait plus il se rapprochait de la maison de la Mère Grand...

[libre à toi de le suivre ou pas...]

Un combat sans merci que s'achevait lorsque Pam fut la proie du mechant loup. Ce dernier, à grands sauts, alla vers une direction lointaine. D'un autre coté, le second enfant, Pim, se remettait lui aussi à courir, hissant de toute sa force et s'élevait fortement ses jambes pour essayer de rattraper l'ennemi. Fye, quant à lui, fixait le petit etre poursuivre ses efforts, tout en le suivant par derrière, sans trop se faire remarquer. Il aurait pu aller plus vite ! mais il voulait voir la vrai détermination d'un homme, ce qu'il pourrait capable de faire pour sauver un etre cher. L'homme aux cheveux orangés, devenus une bete hideuse et nocturne, n'était pas capable de faire la meme chose jadis, pour sauver sa bien-aimée...
Alors que le petit homme courait avec ses petits pieds, perdant peu à peu ses forces, Fye la bete le soulevait par une patte et le mettait sur son épaule. Il parla à Pim :

-Acroche-toi !

Savant que ce dernier n'abandonnerait jamais son ami, Fye décida de l'emmener avec lui, sauvant comme le vent. Ce dernier ne possédait pas de force immense, mais assez pour convaincre notre homme.

-Au fait...vous etes forts tous les deux...et je le pense sincèrement !

Une façon de plus pour montrer sa gentillesse.

-As-tu...peur de moi ? pourquoi m'avez-vous suivi ?

A cet instant, le loup s'arreta devant une demeurre bien calme. Cette dernière était sombre et, paraissait-il, qu'une vielle femme abiterait à l'intérieur. Fye déposa son compagnon et fixa les alentours...des traces de loups ont été& enfoncés sur le sol, marquant ainsi son inquiétude.

-J'espère qu'il n'est pas trop tard...

Oui..qui dit que Pam, l'enfant enlevé ne s'était pas fait déchiqueté par le méchant loup ? mais peut etre que, par chance, ce dernier serait encore en vie ?

Fye s'approcha alors de la demeurre, tout en prenant soin de dire à Pam de rester là où il était ...la tension était forte, mais qui pouvait savoir ce qui pourrait se passet ?


[je te laisse faire la suite...pas trop d'inspi là xD ferait mieux la prochaine fois !!]

Dans la pénombre de la maisonnette se tapissait une force obscure. Un être très peu recommendable. Un immonde oeil jaunatre observait au dehors. Le loup garou roux l'avait donc suivi... Et il avait emporté l'autre moucheron. Pas malin ça. C'était un point faible. Le compagnon de ce dernier se débattait en sanglotant.

*Ces mômes sont pathétiques : ils vont tous y passer, les un après les autres !*

Un sourir cruel retroussa les babines du monstre. Il avait aimer jouer avec ces enfants trop naïfs.Il se souvenait encore de la jouissance qu'il avait eu à décapiter le premier en pensant aux autres qui suivraient. Le sourir s'élargie d'avantage laissant parfaitement voir les dents acérées du loup. D'ailleur le dernier n'était toujours pas mort : la Chose le gardait vivant... de l'autre côté. Ah comme il voudrait pouvoir ramener sa dépouille au gens du village. Mais on ne désobeït pas à la Chose.




Si un regard divin se posait sur la scène, il pourait observer cette bête répugnante et frétillante et impatiente de voir se répendre le sang. Un petit gaillar qui se débat dans ses liens en sanglotant, priant pour que son ami reste loin du danger que représente le lieu où il se trouve enfermé avec ce geolier si peu compatisant. Mais il pourait aussi voir quelque chose d'autre. Quelque chose de pas réelement palpable : des ténebres à l'état pur. Car telle était la Chose : une antité meutrière, un espris sans scrupule. Cet être n'était pas une simple fumerôle. Il possédait de puissants pouvoirs. Il avait décidé de tester ses enfants. Il avait eu raison : cela avait était amusant. Mais à présent il se félicitait franchement de ses actes : le dernier enfant avait ramené un être digne d'interet. Il le metterait lui ausi à l'épreuve.

«Fait entrer nos invités !»

Siffla l'espris à son esclave loup. Alors que ce dernier sortait à la rencontre de Fye et de Pim, la Chose plongea la pièce dans le noir le plus complet. Il absorba toute lumière, toute chaleur et commença l'invocation du portail vers l'autre côté : un pays où errent les âme en peine, un paysage désolé, un desert de vie. Quand ce Fye entrerait il tomberait dans ce pays infernal. Saura t il en sortir ?



La porte s'était ouverte. Le loup s'adressa d'un ton faussement courtoi à Pim et Fye.

«Veuillez entrer : nous vous attendions avec impatience !»

Le petit Pim avança aussitôt, comme envouté, comme s'il n'éatait plus maître de son corps. Il pénétra dans la maisonette.

[Voilà... pas terrible... :s
Mais comme je sais pas quand je pourais passer au cour de ces prochaines semaines ça te permet de continuer
zZzZzZ *voilà l'insomniac de service : missa... Je veux faire dodo ! Bonne nuit ^^*]

Et voilà que Pim fut hypnotisé par la demeurre étrange de la mère-grande. Fye tentait de rattraper le jeune humain quand soudain il vit son compère : l'autre loup-garou, celui qui s'attaquait aux villageois. Ce dernier invita les personnes présentes, tout en donnant un sourire ténébreux aux museaux.

-Ben voyons ! qu'est-ce que tu mijottes encore ?

Fye fixa l'ennemi de ses yeux orangés, la tête bien gardée, l'homme attendit une réponse. Mais voilà que le noir ne répondit pas. Le dos tourné, il retourna dans la demeurre en accompagnant Pim.

-Et mince !

Fye suivit le méchant et se dépêchant dans la demeurre. Pam était là, les paupilles devenues blanches comme la neige et le corps, glacé sur une chaise en bois.

-Pam !

Fye se retournait vers Pim et cria :

-Pim réveilles-toi ! regarde Pam !!
-Il ne se réveillera pas...
-Quoi ?

Soudain on entendit un ricanement qui frissonait la demeurre. Le méchant loup attrapa l'enfant et continua :

-Tu ne pourras rien faire...viens avec nous et j'épargnerai l'humain...
-Lache-le !

Après hésitation, Fye s'approcha du second enfant : Pam.

-Qu'est-ce qui lui est arrivé ?
-Oh...ce n'est rien...il n'a juste...il n'a juste plus d'âme, comme le dirait on !
-Quoi ?

Le monstre sortit ses griffes et sautait vers le grand méchant loup quand il entendit quelqu'un murmurer :

-Arrête... !

Fye stoppa son acte et fixait les environs. Là une petite fille sortit de l'ombre. C'était une petite fille d'environ 6 ans, vêtue d'une robe rouge et d'une cape de la meme couleur. Elle souriait et continuait :

-Dis moi...tu veux boire quelque chose ?
-Qui es-tu ?

La jeune étrangère ne répondit point. Elle promenait autour de la demeurre, jouait avec quelques objets et s'arrêta. Le sourire aux lèvres, elle répondit enfin :

-Moi ? je suis celle qu'on appelle "The Little Riding Hood"...
-Quoi ?
-Et oui ! veux-tu jouer avec moi ?
-Qu'as-tu fait de ces enfants ?
-Moi ? je ne fait que mon travail...celui de...

Le silence de la maison fit trembler la bête aux poils orangés. Fye sentit que quelque chose de démoniaque s'enveloppait la salle. Une petite pause, la fille enchaina sa phrase avec un regard ensanglanté :

-...LES MANGER !

Fye retint sa respiration, poussa la table avec un grand bond et reprit Pam puis courait vers le second loup pour lui mordre la patte. Pim tomba et aussitôt l'homme l'attrappa .

-Bon sang réveillez-vous !!


[hum désolé si c'est mal écrit ^^" chais pas ce qui m'arrive ^^"]

La folie régnait en maitre dans cette petite cabane : la maisonnette de la Mère Grand. Deux enfants hypnotisés qui couraient dans tous les sens, ou tombaient dans les pommes c'était selon. Un loup garou au pelage noir qui ricanait méchament et un petite fille vétue de rouge qui demandait à qui voulait bien l'entendre de jouer avec elle. Et au milieu de tous, Fye, qui ne savait plus quoi penser, quoi faire ou quoi dire. Il tentait de retenir Pim et Pam dans leurs gestes désorganisés.

Petit à petit, les mur se désintégraient, les étagères tombaient en poussière et un nouveau paysage se dessina autour du loup roux, défiant les limites de la logique et de la vraissemblance. Ils se retrouvèrent tous trois (Fye, Pim et Pam) dans une lande désséchée parsemée de quelques arbes morts. La fillette et l'autre loup avait disparut. Mais pas leur voix : on entendait toujours comme un écho.

"Rejoinds nous ! Tu es des notres !"

Murmurait la voix du loup.

"Jouons ensemble !"

Répétait la voix de la nymphette.

Pim et Pam étaient à présent totallement sortit de leur torpeur.

"C'est la voix de Celio.
- Oui c'est elle ? Mais y'a quelque chose de bizarre..."

Ils levèrent leur petite frimousse vers Fye l'interrogeant du regard. Ils étaitent térrifiés et attendait ses directives pour faire quoique ce soit. Lui il devait savoir quoi faire : c'était un adulte et il était venu les sauvé, ils en étaient sûr. Il lui faisait entièrement confiance.

Une petite fille en rouge sortit de derrière un tronc mort :

"Venez ! On va jouer !"

[oula ! C'est vrai que y'a beaucoup de monde là ! c'est dur à suivre ^^ mais ça va le faire ^^ n'esite pas à me dire si tu veux que je modifie deux trois trucs pour te laisser continuer plus facilement]